Franziska Matter
sculpture
La femme avec ses chiens
La vitrine de Brusa-Sport évoque pour Franziska Matter un roman : « le mur », écrit par l’écrivaine autrichienne Marlen Haushofer.
Dans cette histoire, une femme se réveille un matin dans une cabane dans les montagnes. Elle réalise qu’elle est entourée d’un mur de verre insurmontable. Souvent, elle se tient devant le mur de verre et regarde dans l’autre monde, où il n’y a apparemment plus de vie. Il s’agit de frontières, de l’intérieur et de l’extérieur, de solitude et d’austérité.
Dans la vitrine, la femme est absente pour le moment, on peut voir ses deux chiens. Ils attendent son retour. Je me demande où elle est ? Elle ne peut pas être loin, car ses jumelles sont sur le sol à côté des chiens.
Die Frau mit ihren Hund
Die Glasvitrine von Brusa-Sport lässt Franziska Matter an einen Roman denken: „die Wand“, geschrieben von der österreichischen Schriftstellerin Marlen Haushofer.
In dieser Geschichte wacht eine Frau eines Morgens in einer Hütte in den Bergen auf. Sie bemerkt, dass sie von einer unüberwindbaren gläsernen Wand eingeschlossen ist. Oft steht sie vor der gläsernen Wand und blickt in die andere Welt, wo es offenbar kein Leben mehr gibt.
In der Vitrine ist die Frau gerade abwesend, zu sehen sind ihre beiden Hunde. Diese scheinen auf Ihre Gefährtin zu warten. Wo sie wohl ist? Sie kann nicht weit weg sein, denn ihr Feldstecher steht neben den Hunden am Boden.
Es geht um Grenzen, um Innen und Aussen, um Einsamkeit und um Kargheit.